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COMMUNITY

Janvier 2018 - 260 pages

 

Lorsque huit hommes et deux femmes s'installent sur la base scientifique de New Aberdeen, en plein océan austral, au milieu des otaries à fourrure, des gorfous et des skuas, aucun d'entre eux ne s'attend à jouer les Robinson Crusoé du XXIème siècle. Mais dans cet écosystème coupé du monde, même les plus passionnés par l'observation des espèces rares dont l'ilot est le dernier repaire finiront par se concentrer sur leur propre survie. Qui résistera à l'aventure ? C'est tout l'enjeu de ce huis-clos dramatique porté avec empathie par une écriture sans concession.

Reconnue dès son premier roman, On ne boit pas les rats kangourous, Estelle Nollet poursuit une oeuvre tonique et singulière entre littérature de voyage et roman d'anticipation.

" Imaginez que les Dix petits nègres d’Agatha Christie aient croisé, un soir de pleine lune nimbé d’un whisky bien tourbé, John Wayne, version La prisonnière du désert, et qu’ensemble, ils aient décidé de faire la peau au mythe de Robinson Crusoé : vous aurez alors un aperçu de l’obsédant Community, quatrième roman d’Estelle Nollet qui vient de paraître au rayon des brillantes curiosités de cette rentrée d’hiver."

La Voix du Nord (Claire Lefebvre)

(Ce livre a pu voir le jour grâce à la résidence d'écriture L'Atelier des Ailleurs, dans les Terres Australes et Antarctiques Françaises ) 

QUAND J'ÉTAIS VIVANT

Janvier 2015 - 280 pages

 

Ils sont quatre. Quatre à avoir vécu sur la même réserve africaine, à l'avoir vue se transformer d'éden touristique en lieu de massacre. Quatre à découvrir que ni l'amour ni l'amitié n'empêchent la violence et la trahison. Quatre à être liés pour l'éternité.

Dans ce troisième roman, l'auteur excelle autant à décrire la vie sauvage, majestueuse et libre, que les détails précis, singuliers et impitoyables quand la bestialité et la vénalité surgissent.

Une vision du monde crue et tonique, imprégnée de réalisme magique.

 

"C’est un huis clos qui nous emmène dans de grands espaces. Un roman fort et subtil dans lequel se concentrent tous les maux, toute la violence, toutes les beautés de l’Afrique contemporaine. Un livre qui balaie la grandeur et la petitesse humaines. C’est le récit implacable et tendre de la méfiance et de la complicité entre l’homme et l’animal. À travers la vie de quatre personnages réunis dans la mort, Estelle Nollet (...) fait tutoyer les abysses de l’âme et les sommets de l’humanité."

RFI (Jean-François Cadet)

(Ce livre a pu voir le jour grâce à des bourses d'écriture du CNL et de la  Mission Stendhal.) 

2015 Prix Culture et Bibliothèques pour tous.

 

Sélections : Prix de la Closerie des Lilas - Prix des lecteurs de Brives - Prix Joseph Kessel - Prix Charles Exbrayat - Prix Landerneau, Espaces culturels Leclerc - Prix du roman version Femina

Prix Cazes Brasserie Lipp, - l'Île aux livres/la petite cour

 

 

 

 

 

LE BON, LA BRUTE, ETC.

Août 2011 - 350 pages

« Ses yeux pour qu'ils arrêtent il aurait fallu qu'il les arrache. Ça aurait changé sa vie. Quand on est un enfant on peut arracher les pétales d'une fleur les pattes d'une mouche le tissu des fauteuils mais pas ses propres yeux. Et quand on est un adulte eh bien il est trop tard... »

Bang a un don qui lui donnerait presque envie de mourir, Nao une maladie qui lui donnerait presque envie de vivre. Ensemble ils décident de partir comme on fuit. Du Mexique à Bali puis à la Centrafrique : le road movie déjanté et tonique d'un duo pour le moins singulier qui, face à la folie du monde, s'invente une conduite de résistance inédite et fatale.

Estelle Nollet a du punch, de l'audace, du souffle, un univers bien à elle. Son premier roman, On ne boit pas les rats-kangourous, très remarqué par la critique, a reçu de nombreux prix dont le prix Emmanuel Roblès.

 

2011 Prix Gironde Nouvelles Écritures

 

ON NE BOIT PAS

LES RATS-KANGOUROUS

Août 2009 - 330 pages

 

Un hameau perdu en plein désert, deux boutiques, l'épicerie de Monsieur Den et le café de Dan où tous les soirs les paumés qui y végètent se retrouvent et éclusent au comptoir. De ce pays, personne ne peut sortir. Willie, 25 ans, y est né et ne connaît rien d'autre. Mais vient le jour où il se pose la question fatale de leur emprisonnement, et rien ne sera plus comme avant.

Un premier roman au climat étrange et pénétrant par son évocation de personnages déchus, au bout du rouleau, ou d'innocents magnifiques dans un nulle part aride, implacable et ordinaire, proche de l'imaginaire du Caldwell de la Grande Dépression, ou du Mc Carthy de La Route

 

2009 Prix Thyde Monier de la Société des Gens De Lettres

2010 Prix Emmanuel-Roblès du premier roman

2010 Prix Obiou de l'association Animation Développement Tourisme

2010 Double prix littéraire du premier roman de Chatou (du public et du jury)

 

L'ALMANACH DES VOYAGEURS

2012 - 190 pages

Oui, l’écrivain-voyageur français existe ! et il a des choses à dire sur l’état du monde.
Une idée simple est toujours une bonne idée. Par-delà le temps et l’espace, douze écrivains-voyageurs d’aujourd’hui, et de grand talent, ont envoyé une lettre à un personnage du passé à la fois pour lui rendre hommage et pour lui faire part de leurs sentiments.
Sont ainsi conviés à ce banquet : Joachim du Bellay, le petit dieu des carrefours, Nicolas Bouvier, Ernest Hemingway, Joshua Slocum, Henry Morton Stanley, le marquis de Custine, Louis-Ferdinand Céline, Isabelle Eberhardt, Ewart Grogan, le maître Rûmî, Yakov Sannikov, et un voyageur du futur…
De quoi faire le tour du monde, tel qu’il tourne, tel qu’il est ou tel qu’il devrait être.

 

THÉÂTRE

2013

 

Écriture à Madagascar d'une pièce de théâtre qui a été mise en scène puis jouée (et appréciée) sur Grande Terre et dans les îles. Une belle aventure inédite et inattendue comme seuls les voyages peuvent en réserver.

En partenariat avec Pierre Lebeaupin.

 

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